23 MAI 2011
Martigues : 18 caméras en ville
Publié le 23/05/2011 à 11:22 par ancpm
Après l’avis favorable du Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CISPD) du Pays de Martigues en date du 8 novembre 2010, qui avait validé l’étude de préfiguration du dispositif de
vidéoprotection sur la commune, le 15 avril dernier, le conseil municipal de Martigues a définitivement adopté, à l’unanimité des élus présents et représentés, la mise en place de 18 caméras en ville.
Cette volonté de la commune des Bouches-du-Rhône vient compléter l’action déjà existante de Martigues dans le domaine de la gestion urbaine de proximité en permettant de lutter efficacement contre certaines formes de délinquance touchant directement la population et de sécuriser les espaces publics particulièrement exposés et notamment les espaces d’attractivité commerciale de centre-ville et les axes routiers denses.
Pour financer le budget nécessaire à la réalisation de ce projet, la mairie à demander l’aide de l’Etat dans le cadre du Fonds interministériel de prévention de la délinquance. Les 700 000 euros prévus serviront notamment pour la fourniture des 18 caméras et leur installation. Ils devraient normalement provenir en grande partie du FIPD, l’Etat encourageant les municipalités à s’équiper en vidéoprotection.
Alors que Martigues a longtemps été réfractaire à la mise en place de dispositif de sécurité de ce type, la “Venise provençale” a finalement décidé d’y adhérer. L’outil de prévention situationnel que représente la vidéoprotection doit permettre de répondre au besoin local d’intervention en termes de dissuasion sur ces espaces publics et lieux sensibles.
“La vidéoprotection n’est pas forcément un outil adapté lorsque l’on sait qu'elle vient en déduction du déploiement des forces de police, continue toutefois d’affirmer Henri Cambessedes, premier adjoint au maire. Les installer sur la voie publique a donc un effet pervers. On a toujours été suspicieux quant à ce procédé. Cependant, il est vrai que dans le centre-ville, près des commerces et sur les parkings, on va pouvoir faire en sorte d'aider à l'élucidation de faits délictueux.” L’élu prévient toutefois : “Nous ne ferons pas dans le flagrant délit. Nous allons travailler en enregistrement et pas en visionnage direct. Et seules des personnes habilitées à visionner les bandes pourront le faire lorsque cela sera nécessaire.”
A la suite de l’étude menée par un Cabinet d’Experts en 2010, qui a proposé de façon concrète dix-huit lieux d’implantation Martigues peut, aujourd’hui, entrer en phase de réalisation. Les caméras seront implantées dans les trois quartiers de la ville – Ferrières au nord (côté Camargue), l’Ile sur le canal (île Brescon) et Jonquières au sud (côté Côte Bleue), dans les rues commerçantes (rue Lamartine, L’Ile), sur les places (Jaurès) et sur de gros axes de circulation comme le boulevard Turcan pour la gestion du flux et des problèmes automobiles.
Pour financer le budget nécessaire à la réalisation de ce projet, la mairie à demander l’aide de l’Etat dans le cadre du Fonds interministériel de prévention de la délinquance. Les 700 000 euros prévus serviront notamment pour la fourniture des 18 caméras et leur installation. Ils devraient normalement provenir en grande partie du FIPD, l’Etat encourageant les municipalités à s’équiper en vidéoprotection.
Alors que Martigues a longtemps été réfractaire à la mise en place de dispositif de sécurité de ce type, la “Venise provençale” a finalement décidé d’y adhérer. L’outil de prévention situationnel que représente la vidéoprotection doit permettre de répondre au besoin local d’intervention en termes de dissuasion sur ces espaces publics et lieux sensibles.
“La vidéoprotection n’est pas forcément un outil adapté lorsque l’on sait qu'elle vient en déduction du déploiement des forces de police, continue toutefois d’affirmer Henri Cambessedes, premier adjoint au maire. Les installer sur la voie publique a donc un effet pervers. On a toujours été suspicieux quant à ce procédé. Cependant, il est vrai que dans le centre-ville, près des commerces et sur les parkings, on va pouvoir faire en sorte d'aider à l'élucidation de faits délictueux.” L’élu prévient toutefois : “Nous ne ferons pas dans le flagrant délit. Nous allons travailler en enregistrement et pas en visionnage direct. Et seules des personnes habilitées à visionner les bandes pourront le faire lorsque cela sera nécessaire.”
A la suite de l’étude menée par un Cabinet d’Experts en 2010, qui a proposé de façon concrète dix-huit lieux d’implantation Martigues peut, aujourd’hui, entrer en phase de réalisation. Les caméras seront implantées dans les trois quartiers de la ville – Ferrières au nord (côté Camargue), l’Ile sur le canal (île Brescon) et Jonquières au sud (côté Côte Bleue), dans les rues commerçantes (rue Lamartine, L’Ile), sur les places (Jaurès) et sur de gros axes de circulation comme le boulevard Turcan pour la gestion du flux et des problèmes automobiles.
Source : videosurveillance-info.com
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